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lundi 27 février 2012

Je dépense, je compte, je gère quoi !

C'est un fait, je suis une femme au foyer en grande partie et j'adore gérer le budget familial.
Chaque début de mois, c'est comme un jeu pour moi de répartir les "entrées" dans mes différentes enveloppes virtuelles.
Ce n'est peut-être pas pour rien d'ailleurs que je me suis reconvertie dans la comptabilité... faut pas chercher !

Quand je vivais seule, je ne tenais pas de cahier de comptes. C'était un peu la belle vie ! Une fois déduits le loyer et une facture de fourniture en énergie par-ci par-là, j'étais en free-style total ! Et oui, mon budget alimentation, c'était du grand n'importe-quoi... bref.

Depuis, les choses ont changé. Ma petite famille s'est constituée, mes dépenses se sont rationalisées et j'ai tout naturellement ressenti le besoin de mettre un peu d'ordre dans mon porte-monnaie. 
En d'autres termes, être capable de prévoir, anticiper les sorties d'argent pour mieux planifier 

Le cahier de comptes a donc fait son apparition dans ma vie.


vendredi 24 février 2012

La digne fille de sa mère (moi en l'occurence !)

ou "6 ans et demi et déjà une petite mémère" !

Dans la vie, il y a plein de petites choses qui me font dire que ma fille est bien ma fille.
Comme quand elle fait sa "commandeuse" comme dit son frère, de la même manière qu'il m'arrive de parler à leur père - direct je m'enfonce, pas bon - ou bien quand elle se met à chanter dans son anglais yaourt les mêmes chansons d'Adele que je reprends à tue-tête.

Mais ce qui me fait le plus sourire, c'est quand elle va à l'école avec son cartable.
Tout comme moi je sortirais avec mon sac-à-main pour aller travailler.



lundi 20 février 2012

"Persepolis", l'Iran raconté et illustré

J'ai découvert il y a peu l'oeuvre de l'Iranienne Marjane Satrapi, à la faveur de la diffusion télé de son film d'animation, Persepolis.
Un film directement inspiré de ses bandes-dessinées éponymes, à caractère autobiographique et historique.


Ça faisait un petit moment déjà que j'avais envie de le voir mais sans chercher plus que cela à me le procurer. Merci donc Arte de l'avoir programmé récemment. Dire que je n'ai pas été déçue serait un euphémisme. Je n'aurais jamais pensé que c'était aussi bien !!!

jeudi 16 février 2012

Les librairies sont en voie de disparition, c'est un peu à cause de moi

En effet, comment faire pour me procurer des livres dans ma petite ville de province ?

Je pense tout d'abord à la bibliothèque, la meilleure façon d'avoir accès à toute une ressource littéraire pour zéro frais, si ce n'est  une cotisation annuelle.
En théorie, c'est l'idéal. D'autant plus que ma bonne ville s'est dotée d'une médiathèque flambante neuve depuis le début de l'année.
Seulement, je n'ai pas encore eu l'occasion d'y aller car elle est située carrément à l'autre bout de ma ville, ce qui implique de devoir prendre la voiture pour s'y rendre.
Les transports en commun ? N'y pense pas, le réseau est tout petit et à moins d'avoir envie de perdre 2 heures aller-retour le temps d'avoir des correspondances, c'est no-way.
Alors oui, il y a bien la bibliothèque de quartier, pas très loin de chez moi à pied, où j'emmène régulièrement mes enfants mais son rayon "romans adultes" est ridiculement pauvre. Allez, il doit y avoir un petit millier de livres à tout casser, dont j'ai déjà fait le tour - je ne les ai pas tous lus, je vous rassure, mais j'ai vu ceux qui étaient susceptibles de m'intéresser. Les enfants y trouvent leur compte, c'est déjà bien, je ne me plains pas.

Une fois écartée la possibilité de pouvoir emprunter des livres régulièrement, il ne me reste plus qu'à les acheter. Ce qui n'est pas pour me déplaire puisque j'aime bien "posséder" les livres. J'aime les sentir tout le temps près de moi, à portée de main, prêts à être relus si l'envie m'en prenait.

chez moi, point d'étagères ou de rayonnages de bibliothèque (pas de poussière au moins !)
mais un placard dans mon meuble de salon
qui sera bientôt plein à craquer

lundi 13 février 2012

La pluie, avant qu'elle tombe

Un bien joli titre, quoi que très énigmatique, pour un tout autant joli roman.

Le titre est tiré d'un des dialogues du récit

Quatrième de couverture :
"Rosamond vient de mourir, mais sa voix résonne encore, dans une confession enregistrée, adressée à la mystérieuse Imogen. S'appuyant sur vingt photos soigneusement choisies, elle laisse libre cours à ses souvenirs et raconte, des années quarante à aujourd'hui, l'histoire de trois générations de femmes, liées par le désir, l'enfance perdue et quelques lieux magiques. [...]
Tout Jonathan Coe est là : la virtuosité de la construction, le don d'inscrire l'intime dans l'Histoire, l'obsession des coïncidences qui font osciller nos vies entre hasard et destin. Et s'il délaisse cette fois le masque de la comédie, il nous offre du même coup son roman le plus grave et le plus poignant."

C'est avec un grand bonheur que j'ai découvert Jonathan Coe, écrivain britannique contemporain.

vendredi 3 février 2012

Garder les dents du bonheur ou pas ?



Ça fait un peu dents de lapin pour l'instant, ces deux grosses dents devant
avec les petites dents de lait qui sont toujours là à côté !

A la fin de l'année dernière, ma fille Sélène a eu droit à sa première visite chez une dentiste. Une visite de prévention buco-dentaire entièrement prise en charge par la Sécurité sociale, dans le cadre de l'opération M'T dents (Yeahhh, y sont trop fun à la sécu !), pour tous les enfants de 6 ans, 9 ans, 12 ans, 15 ans et 18 ans.
Vous n'avez rien à demander, vous recevez la feuille de prise en charge directement à domicile.

La visite s'est très bien passée et la dentiste a dit à ma fille qu'elle se brossait bien les dents.
Ça fait plaisir de l'entendre dire, parce que je peux vous assurer qu'à la maison, on est vigilent avec le brossage des dents.
Ma belle-mère est assistante dentaire et quand elle nous raconte le nombre de gamins, de l'âge de nos nôtres, qui ont déjà des caries plein la bouche, ça donne à réfléchir !
Y'a pas à dire, les enfants et les dents, faut toujours être derrière pour vérifier qu'ils n'expédient pas le brossage en 15 secondes, et qu'ils font bien bouger la brosse dans la bouche.
Oui, mes enfants sont spécialistes du brossage de dents silencieux, avec machouillage de la brosse immobile !

Bref, revenons à la visite !
La dentiste nous a proposé de faire combler les sillons des molaires de Sélène, qui sont pas mal profonds d'après elle, de manière à limiter les incrustations d'aliments, et d'éventuelles caries.
Rien de bien extraordinaire, c'est juste une pâte qui colmate la dent.
Pourquoi pas, mais ses sillons je ne vois pas ce qu'ils ont de plus profonds que les miens. C'est comme qui dirait que l'on nous pousse à la surconsommation médicale. Enfin j'dis ça, je peux me tromper...