Tout est parti des difficultés de ma fille à se plonger dans le bain du CP et des devoirs du soir.
En effet, dur dur pour elle de s'attabler le soir et de se concentrer, ne serait-ce même que 5 minutes, sur des leçons qu'elle a déjà rabâchées pendant la journée en classe.
Elle n'en voit pas l'utilité et elle nous le fait clairement comprendre par ses remarques :
- "Mais je l'ai déjà fait !"
Et j'avoue que devant ce que j'appellerai sa mauvais volonté manifeste, je n'ai pas la patience de son papa.
Voilà donc deux semaines que je m'interroge.
Voilà donc deux semaines que je m'interroge.
Il y a encore trois mois, ma fille était encore en maternelle, où la vie était belle et tranquille et où l'apprentissage n'était pas forcé. Enfin, pas trop, en théorie.
A ce stade, je pense utile de rappeler qu'à notre époque, de mémoire, mais je peux me tromper, on n'apprenait pas déjà à écrire en attaché à l'école maternelle - il est clair qu'on en demande toujours plus et plus tôt à nos enfants - par contre, on apprenait à faire nos lacets et à faire les tresses, voilà, c'est dit ! (;-)))
Je disais donc que, du jour au lendemain, voilà ma fille débarquée au CP dans la cour des grands, où le rythme se retrouve tout autre.
Attention, on ne rigole plus ! Et pour cause, l'apprentissage de la lecture est en jeu.
Je ne suis pas une petite souris, je ne suis pas moi-même professeur des écoles, et je ne sais donc pas vraiment comment se déroule une journée de cours au CP, mais j'imagine qu'on doit demander à nos enfants de gros efforts de concentration pour assimiler tout le programme.
Et une fois rentrés à la maison, c'est la double peine, j'ai envie de dire, sans mauvais jeu de mots !
Toute la journée à faire des travaux dirigés, ils pensent pouvoir enfin se reposer mais que nenni ! Il faut encore réviser !
A peine ma fille a-t-elle franchi le seuil de l'appartement, qu'elle se précipite dans sa chambre pour jouer avec son petit frère.
JOUER.
C'est encore une enfant et elle a besoin de jouer une fois la journée d'école finie.
Normal.
Et vendredi soir, après l'école, une maman avec qui je discutais de ces histoires de devoirs le soir, m'a fait remarquer qu'en principe, "les devoirs sont interdits, par une directive !"
Vous pensez bien que ça a fait tilt dans mon ciboulot et qu'une fois rentrée à la maison, hop, hop, hop, une petite recherche internet m'a permis de me renseigner sur le sujet.
Effectivement, une circulaire de 1956 stipule qu'"aucun devoir écrit, soit obligatoire, soit facultatif, ne sera demandé aux élèves hors de la classe." Laquelle interdiction a été rappelée par la suite.
Devoirs interdits le soir hors de la classe, d'accord, mais uniquement devoirs écrits.
Devoirs interdits le soir hors de la classe, d'accord, mais uniquement devoirs écrits.
Le professeur peut tout à fait donner des leçons à apprendre. Les leçons ne sont pas des "devoirs", au sein législatif du terme.
Alors moi je veux bien que les devoirs écrits soient interdits le soir, après l'école, mais on aura beau tout m'opposer (et même le fait plutôt légitime que les leçons du soir sont un lien entre les parents et le travail qui est fait à l'école, un moment de partage privilégié entre son enfant et soi pour échanger sur sa journée à l'école), vous ne m'enlèverez pas de la tête que les leçons orales n'en sont pas moins du travail.
A la rigueur, je veux bien admettre qu'un travail écrit demande une attention supplémentaire à l'enfant mais une lecture à réviser, une poésie à apprendre représentent tout autant une demande de concentration supplémentaire pour l'enfant qui en a déjà plein les pattes de sa journée, pardonnez-moi l'expression !
N'oublions pas que la journée d'école en France est déjà bien assez longue - parmi les plus longues en Europe - et que les programmes sont suffisamment chargés sans qu'il soit besoin de les ressasser à la maison (ça, c'est moi qui l'dit).
N'oublions pas que la journée d'école en France est déjà bien assez longue - parmi les plus longues en Europe - et que les programmes sont suffisamment chargés sans qu'il soit besoin de les ressasser à la maison (ça, c'est moi qui l'dit).
Avouez que la limite entre devoir et leçon est un peu tendancieuse, non ?
Ne croyez pas que je sois bornée au point de boycotter les devoirs de ma fille, au risque de la mettre en marge de sa classe, et de la mettre par conséquent mal-à-l'aise.
Non, je suis comme tout le monde, et j'ai envie que tout se passe bien pour ma fille et je ne vais pas aller braver l'institution.
Seulement, je m'interroge... et ce n'est que début vous me direz.
Je ne suis pas contre une ou deux strophes de poésie à mémoriser à la maison, deux fois par semaine, parce que l'exercice de la mémoire est important dans le développement de l'enfant et qu'il ne peut pas vraiment être fait en classe, mais répéter tous les soirs les alo olé ola léo léa vus toute la matinée, je suis pas convaincue.
Non aux leçons systématiques tous les soirs !
Je n'ai pas besoin que ma fille fasse des devoirs pour être rassurée sur ce qu'elle fait la journée à l'école. Même si j'ai du mal à l'imaginer, je sais que la maîtresse fait bien son travail en classe.
Et quant aux bonnes habitudes qu'il faut commencer à prendre en vue du collège... elle a encore un peu de marge non ?
Non aux leçons systématiques tous les soirs !
Je n'ai pas besoin que ma fille fasse des devoirs pour être rassurée sur ce qu'elle fait la journée à l'école. Même si j'ai du mal à l'imaginer, je sais que la maîtresse fait bien son travail en classe.
Et quant aux bonnes habitudes qu'il faut commencer à prendre en vue du collège... elle a encore un peu de marge non ?
"Si le bien fondé du travail à la maison pour les enfants du collège ou à plus forte raison du lycée, n'est plus à démontrer, il est bon de remarquer que les devoirs à la maison, pour les enfants de l'école élémentaire, ont été abrogés dans les textes officiels de l'éducation nationale depuis plusieurs décennies, mais comme le phénix qui renaît sans cesse de ses cendres, de nombreuses générations d'écoliers, malgré ces textes officiels, ont eu du travail à la maison. Alors, de nombreuses circulaires ont, de loin en loin, rappelé aux maîtres que les devoirs à la maison n'avaient pas lieu d'être et que s'il était éducatif de proposer aux enfants de faire quelques lectures, d'apprendre des poésies ou des "leçons", il n'était pas du tout recommandé après une journée de classe d'exiger d'eux un travail écrit.
Certains sociologues ont même accusé ces devoirs de creuser l'écart entre les enfants des classes favorisées, qui peuvent recevoir de l'aide efficace de leurs parents, et les enfants des classes modestes qui n'ont pas le même soutien à la maison. Mais les us et les coutumes ont la vie dure. Les petits écoliers, qui grandissent et qui deviennent parents à leur tour, ont du mal à concevoir une école pour leurs enfants, sans travail à faire le soir à la maison. Et voilà comment ces fameux devoirs reviennent chaque année: chacun les réclame, les parents les réclament aux enseignants qui les réclament aux enfants. Il peut même arriver que certains enfants en réclament également. Alors, comment résister à une telle pression ? Même les enseignants qui ne sont pas entièrement convaincus de leur bien fondé ont beaucoup de mal à aller en sens contraire de la demande générale. Ils souffriraient de la comparaison avec d'autres collègues. D'autant plus qu'il n'est pas toujours aisé de faire la distinction entre les devoirs qui sont en principe interdits à l'école et les leçons ou les enquêtes qui sont autorisées." (source : Geneviève Cavaye, psychologue scolaire)
Voyez tout ce que ma fille avait à faire pour demain :
La lecture, ce sont les deux pages sur ma première photo
+ La poésie : 6 lignes à mémoriser (cf photo au-dessus)
+ L'illustration : chouette, on peut dire qu'elle l'a déjà terminée !
+ Revoir les lettres a é o l avec son et gestes associés dans le cahier bleu
Le samedi et le dimanche ne servent-ils pas à se reposer ?
Là, avec tout ce qu'avait demandé la maîtresse, il y en avait pour bien plus de 10 minutes de travail, ce qui est tout de même lourd pour un enfant qui vient d'entrer au CP.
Sachez quand même qu'aucune circulaire ne demande à ce qu'un travail soit prescrit aux élèves après l'école.
A méditer...
Votre avis m'intéresse fortement et j'imagine que le sujet est vaste !
PS : mon cher et tendre, qui est beaucoup moins radical que moi et qui ne partage pas vraiment mon avis, me dit que je suis frustrée car je n'ai pas fait Mai 68 !
Ah, ah, ah !
Ah, ah, ah !
Je te rejoins complètement sur la petite allusion faite par rapport à la grande section qui devient actuellement (depuis quelques années) un mini CP!!!!! J'en parlais aujourd'hui même avec une amie prof E dans le RASED (réseau d'aide aux enfants en difficulté). D'ailleurs j'étais surprise il y a quelques semaines lorsqu'une autre amie m'a montré le cahier d'écriture de sa fille scolarisée en grande section!!!
RépondreSupprimerMes enfants n'ont pas eu cette pression là à l'école maternelle. Du tout!!!! Et cela ne les empêche pas de très bien réussir. D'ailleurs je crois que mon fils aurait été sacrément en échec pour l'écriture si il avait eu à vivre cette pression "graphique"!!!!
Ce qui est surprenant c'est qu'en mettant toujours plus de pression sur les apprentissages ces dernières années, il y ait toujours autant d'échec scolaire, n'est-ce pas?
Pour ce qui est des devoirs, écrits ou oraux, je ne suis pas foncièrement contre dans la mesure où ils demeurent raisonnables. Mais où est la limite n'est-ce pas? Entre le raisonnable, le nécessaire, etc....
De mémoire, mes enfants au CP, avait une maîtresse très cool qui ne faisait pas de surenchère de travail à la maison. Et c'était très bien comme ça! Ils avaient la plupart du temps la lecture du soir et hop, voilà!!! Parfois une petite poésie ou un peu de math. Mais léger, léger....
Hélas, les professeurs des écoles sont de plus en plus enrôlés dans des objectifs de performance et cela se ressent sur la façon de mener leur enseignement. Des listes de compétences à n'en plus finir sont à tester, des tableaux (que personne ne lit hormis les parents) sont à compléter, etc... La misère!!!!
D'ailleurs c'est quelque chose qu'on retrouve chez de nombreuses instits de maternelle qui font des tableaux de malade avec un nombre incroyable de compétences qu'elles se font un devoir de compléter avec des smileys!!!
Merci pour ton témoignage Chrys. Tu es bien placée !
RépondreSupprimerJe connais les tableaux de compétence qui sont remplis avec des smileys. Bon, en l'occurrence, c'était en réalité des points verts, orange ou rouge, mais l'idée est la même !
Je suis d'accord avec toi : un peu de devoirs oraux, et même écrits, pourquoi pas, mais franchement, pas tous les soirs. Je trouve que c'est vraiment trop lourd pour des petits.
Je dis pas, en CM2, en préparation pour ce qui les attend en 6ème, mais avant, ça ne me semble pas forcément nécessaire.
Et pour tout avouer, je me souviens qu'étant plus jeune (enfant, ado, je ne sais plus bien quand), il m'arrivait de penser que ça serait quand même plus cool quand je serais adulte parce que même si mes journées seraient toujours occupées (par le boulot à la place de l'école), au moins, je serais tranquille une fois rentrée à la maison car plus de devoirs !
J'affronte comme toi la rentrée au CP...Théo a eu une poésie à apprendre mais lui n'aura pas beaucoup de devoirs jusqu'à Toussaint.....Bonne journée...
RépondreSupprimerJe suis du même avis que toi, Léo est en grande section et j'hallucine de voir que déjà l'année dernière ils avaient commencé à écrire en attaché !
RépondreSupprimerLes devoirs en cp c'est n'importe quoi, surtout si tôt après la rentrée ! Moi c'est mon angoisse, je n'ai jamais été aidée pour faire mes devoirs et je me vois mal avoir la patience de l'aider à les faire l'année prochaine.
J'ai été la dernière à la maternelle à savoir écrire mon prénom, ça ne m'a pas empêché de faire des études supérieures !
Je veux une école Montessori pour mes enfants !!!!!
Tu vois, Chupa est aussi au CP et dans le programme, elle en est moins avancé que ta fille déjà. Ils n'ont pas encore commencé les syllabes. Ils font les voyelles et apprennent à les écrire.
RépondreSupprimerHeureusement car sa maîtresse de GS avait été bien moins loin sur ce point que la mâitresse de TiBiscuit l'année précédente.
L'année dernière, question devoirs, c'était un peu la belle vie pour TiBiscuit au CP. Je peux te dire qu'au CE1, la donne a changé!
Je me suis rendue compte à la réunion parents instits que certains parents font énormément bosser leurs enfants alors que nous, on les laisse quand même jouer.
Donc finalement comme on ne veut pas que TiBiscuit se retrouve en retard par rapport à d'autres, ce we, on l'a fait travailler chaque jour 30 minutes à 1 heure.
Je suis d'accord sur le dernier point, les devoirs à la maison creuse l'écart entre les enfants issus de différentes classes sociales.
Mais même s'il n'y avait pas de devoirs, ça n'empêcherait pas certains parents de pousser leurs enfants à fond.
Késako l'école Montessori ??? Faut que je me renseigne. ;-)
RépondreSupprimerMiss Brownie : oui, j'ai déjà remarqué que certains parents sont déjà à fond dans les devoirs dès le début du CP et franchement, ça fait peur.
Avec ma fille, je dirais que pour l'instant, c'est plutôt du vite fait (pas forcément mal fait) par principe (vous l'avez compris je pense !)et puis de toutes manières, elle y est tellement réfractaire pour l'instant que je vois bien que, dès que j'essaie de la pousser un peu, c'est le clash.
Ca serait quand même dommage de la braquer avec ses histoires de devoirs dès le début.
Je suis instit primaire (en Belgique). Chez nous, il n'y a pas de directives: les devoirs ne sont pas interdits.
RépondreSupprimerLes devoirs sont une bonne chose selon moi! Lorsque l'on note au journal de classe "étudier le son "oi" par exemple, 90% des enfants ne feront rien. Si on donne un petit exercice là-dessus, qui prend 5 minutes, on est certains que la leçon sera plus facilement assimilée.
Après je ne dis pas qu'il faut donner un tas de devoirs... Ce qu'a reçu ta fille me semble énorme pour la troisième semaine d'un CP...
Personnellement, au CP je donne un petit exercice (style "colorie les dessins en vert lorsque tu entends "oi" " : ça prend 2-3 minutes) et une lecture (vue en classe). C'est tout!
Ben là moi je ne peux trop en dire vu que je n'ai pas d'enfants mais je pense en effet que Chrys a fait un bon résumé et en plus comme tu dis elle est très bien placé.
RépondreSupprimer:-)
Pour ma part je pense que les devoirs ne sont pas indispensables, mais je suis pour les balades en forêts pour faire un cours de science par exemple, la nature offre tant de choses à découvrir ... Un passage chez le boulanger pour compter le prix du goûter à acheter ... bon cours de maths ou bien encore un petit cours d'éducation civique en montrant aux enfants qu'on laisse la place à une personne âgée dans un bus au retour ... ou traverses sur les clous .... Enfin voila ;. l'appropriation par l'action ...
RépondreSupprimerChacun son truc ...
Je t'embrasse Céline et merci de tes passages réguliers sur mon blog ...
oh la la que je te comprends... ma fille est également entrée en CP cette année, très motivée et très studieuse... Au bout de 2 semaines, elle sort de l'école en traînant les pieds en pensant AUX DEVOIRS ! Tous les soirs c'est trop, le CP leur demande des efforts de concentration important par rapport à la grande section, c'est déjà un pas énorme. Je suis issues d'une famille d'instit (mais je ne le suis pas) pour qui les avis divergent. Tous les jours c'est trop ! Le mercredi et le week-end, c'est plus facile de trouver le BON moment, le soir, quand ils rentrent c'est goûter, jeux, doudous... et avant ça il faut franchir la redoutable épreuve des DEVOIRS ! bon courage à toi et à ta puce !
RépondreSupprimerMerci vous toutes et tous pour vos messages sur ce sujet !
RépondreSupprimerEn effet, l'échec scolaire est de plus en plus courant et pourtant, on pourrait avoir l'impression qu'ils bossent davantage.
RépondreSupprimerMoi je ne suis pas contre des devoirs pour le jeudi et lundi mais une autre forme de devoir: des mots à deviner avec les parents, des récits d'activités, des choses que la famille pourrait partager avec eux. Recreer un lien moins formel entre l'école et la famille.
Quand je vois qu'Octave est entré en petite section il y a plus de 15 jours et que je ne sais toujours rien ni de son emploi du temps, ni de ce qui'il y fait, et que dand cette école, on ne rentre pas dans la classe, c'est très limite je trouve pour la continuité du lien... cela n'aide pas les enfants à apprivoiser le rythme, la structure si on ne peut l'aider à l'accepter puisqu'on ne sait pas ce qui s'y passe!!
Et moi je me renseigne, lis des trucs sur les programmmes...alors je n'ose imaginer les parents qui n'osent pas, ou ne pensent pas faire la démarche!
☼ Alice : super cette idée d'une autre forme de devoirs ! Du coup, ça serait beaucoup plus ludique pour tout le monde.
RépondreSupprimerC'est vrai que le déroulement d'une journée à l'école est plutôt un mystère pour les parents. En général, une réunion des parents avec l'enseignant permet justement de visiter la classe et de prendre connaissance de l'emploi du temps de nos enfants.
Pour la maternelle, je connais déjà mais j'attends avec impatience celle de primaire !
montessori, j'ai acheté une méthode sympa
RépondreSupprimerhttp://www.amazon.fr/Eveiller-%C3%A9panouir-encourager-son-enfant/dp/2092780905
c'est intéressant, faut en laisser, en prendre mais je peux te preter le livre si tu veux
Bonjour,
RépondreSupprimernos enfants sont "grands" (8, 10 et 13 ans) et dès qu'ils ont été scolarisés en CP nous ne leur avons jamais fait faire les devoirs écrits en primaire. L'apprentissage des leçons n'excède pas 15min. Nous le spécifions à l'enseignant à chaque rentrée et c'est plus ou moins bien accepté. Cela dépend des enseignants :)
Bonjour à tous,
RépondreSupprimerJournalistes à la rédaction du 66 minutes sur M6 nous recherchons différents participants afin de préparer le tournage pour la rentrée d'une émission sur les devoirs au primaire.
C'est pourquoi nous cherchons à trouver différents profils pour ce reportage :
- une famille/un parent CONTRE les devoirs qui refusent plus ou moins que ses enfants au primaire les fassent
- un maître/une maîtresse d'école contre les devoirs (et qui proposerait des alternatives au sein d'une étude ou d'heures aménagées)
- un maître/une maîtresse d'école pour les devoirs écrits
- des parents absolument POUR les devoirs
Si vous êtes intéressés, merci de nous contacter par mail :
journalistem6.66minutes@gmail.com