Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.
Ça vous rappelle quelque-chose ? Si vous êtes allés au collège et même que vous avez persévéré au lycée, qui plus est en classe scientifique, vous avez dû en manger bonbon !
Bon, vous voyez toujours pas ? C'est l'énoncé de la loi de la conservation de la matière (équilibrer l' équation bilan d'une réaction chimique... que de souvenirs...) de Lavoisier, qui paraît-il l'aurait pompée sur Anaxagore de Clazomènes, un grec du V avant JC. Bouuu, pas bien ! Permettez donc cher monsieur que je m'approprie cet énoncé en l'étayant de ma démonstration artistique.
Pour ce faire, il me faut un body Petit Bâteau ayant appartenu à bébé Sélène, que j'ai pris soin de conserver religieusement avec d'autres de ses congénères. Au cas où j'aurais eu une deuxième fille... Loupé ! Je les ai quand même gardés car je suis bassement matérialiste et j'ai du mal à me séparer de certaines « choses » que j'affectionne. Les bodies Petit Bâteau en font partie.
Alors qu'un orage séviçait dans le ciel de nuit au-dessus de ma demeure et de mon lit, il y a de cela déjà quelques jours, je fus frappée, pas par un éclair, rassurez-vous, mais par une idée lumineuse. Un de celles qui m'oblige à me relever parce que, non mon Jardinier, ça ne peut pas attendre.
Ni une ni deux, de toutes manières je ne dormais pas avec l'orage, je suis allée farfouiller au fond de ma penderie, dans LE sac où je conserve les reliques vestimentaires des enfants.
Et j'en ai ressorti les fameux bodies tous doux.
Ça vous rappelle quelque-chose ? Si vous êtes allés au collège et même que vous avez persévéré au lycée, qui plus est en classe scientifique, vous avez dû en manger bonbon !
Bon, vous voyez toujours pas ? C'est l'énoncé de la loi de la conservation de la matière (équilibrer l' équation bilan d'une réaction chimique... que de souvenirs...) de Lavoisier, qui paraît-il l'aurait pompée sur Anaxagore de Clazomènes, un grec du V avant JC. Bouuu, pas bien ! Permettez donc cher monsieur que je m'approprie cet énoncé en l'étayant de ma démonstration artistique.
Pour ce faire, il me faut un body Petit Bâteau ayant appartenu à bébé Sélène, que j'ai pris soin de conserver religieusement avec d'autres de ses congénères. Au cas où j'aurais eu une deuxième fille... Loupé ! Je les ai quand même gardés car je suis bassement matérialiste et j'ai du mal à me séparer de certaines « choses » que j'affectionne. Les bodies Petit Bâteau en font partie.
Alors qu'un orage séviçait dans le ciel de nuit au-dessus de ma demeure et de mon lit, il y a de cela déjà quelques jours, je fus frappée, pas par un éclair, rassurez-vous, mais par une idée lumineuse. Un de celles qui m'oblige à me relever parce que, non mon Jardinier, ça ne peut pas attendre.
Ni une ni deux, de toutes manières je ne dormais pas avec l'orage, je suis allée farfouiller au fond de ma penderie, dans LE sac où je conserve les reliques vestimentaires des enfants.
Et j'en ai ressorti les fameux bodies tous doux.