Premières neiges

Je ne sais pas ce que vous faites vous ce soir, mais moi, rien de spécial !

Je reviens de deux jours à la neige, sans trop de neige (!) et je suis à la recherche de films sympas à regarder. Le peu de neige que j'ai vu m'a ramené en mémoire un petit film de 63 minutes que j'aime beaucoup et que je regarde régulièrement avec délice : Premières neiges, de Gaël Morel (1999), avec Elodie Bouchez dans le rôle principal féminin de Léa, qui se laisse enfermer volontairement dans un supermarché le soir de Noël. C'est d'actualité et c'est peut-être pour cela aussi que je m'en suis souvenu.

Elodie Bouchez, tiens au fait qu'est-ce qu'elle devient elle ? Je l'aime bien cette fille.
 Ça change de Charlotte Gainsbourg, même si j'ai rien contre elle.

Pour un (premier) flirt avec toi...

Je ferais n'importe-quoi. Pour un flirt, avec TOI.

Il est facile mon jeu de mots, je sais...

 Source des trois jolies photos : Pure trend

Babette blanket : petits conseils vidéo pour la bordure

Voici ma petite Babette blanket presque terminée :

Tous les fils sont rentrés. Ouffff !

Il ne me reste plus qu'à réaliser les tours de brides pour lui faire une jolie bordure. C'est là que les affaires se corsent un peu car je suis victime, comme quasiment toutes les crocheteuses de BB, du gondolement de la bordure !

Personnellement, je ne trouve pas ça vilain, mais comme je veux essayer de faire les choses bien pour cette première Babette blanket, il me faut trouver LE truc pour contrecarrer cet effet indésirable de "gondole".

Il n'y a pas que Pénélope*...

* la créatrice des poupées Happy to see you, que j'abrège souvent par les lettres HTSY dans le texte.

... qui sache faire de jolies poupées.

A gauche : poupées réalisées par Noémie, du blog Est-ce pris de famille ?!

A droite : poupées HTSY

A gauche : poupée réalisée par Ambrym, profil sur doctissimo

A droite : poupée HTSY, appartenant à Soizic, blog Z comme Zoé

Couverture de mémé in progress !

Puisque le temps et l'inspiration me font un peu défaut en ce moment pour cause de neurones en surchauffe accaparés par la réalité de ma vraie vie IRL (hein Bulles, c'est comme ça qu'on dit ?), et puis aussi parce que nous sommes mardi et que ça tombe trop bien car c'est le jour où l'on fait le point sur l'encours de notre Granny square challenge, voici un petit post vite fait bien fait pour vous montrer où j'en suis dans le crochetage de ma blanquette à ma sauce. Elle était longue ma phrase ?

Les réponses de Pénélope

Suite à mon post précédant dans lequel je m'interrogeais sur les augmentations de prix des poupées Happy to see you, j'ai décidé de contacter directement Pénélope Naulleau, leur créatrice. Je lui ai notamment demandé si elle pouvait nous donner des informations concernant sa méthode de travail artisanale dans son petit atelier de Vendée. Elle m'a répondu très rapidement. Je tenais à publier in extenso ette réponse très intéressante et très instructive, qui intéressera toutes les inconditionnelles des poupées, et les autres aussi !
Bonne lecture !

"Bonjour Céline,

Je vais essayer de répondre à vos très nombreuses questions. Pour ce qui est de publier cela sur votre blog, je vous laisse libre, c'est chez vous.

Comme beaucoup de créatrices je pense, j'ai démarré mon activité sans aucune formation comptable ou commerciale et j'ai donc appris sur le chemin un peu de ces réalités incontournables. ( il me reste encore beaucoup à apprendre) J'ai fait mes prix modestement en fonction de ce que pouvait être la valeur de mes poupées à mes yeux et sans comptabiliser l'ensemble des charges auxquelles est soumise n'importe quelle entreprise dès lors qu'elle est déclarée. Je créais tout de a à z sans compter les heures ni les matières.

Depuis quelques temps, la situation est différente et j'ai du me tourner vers l'extérieur pour trouver de l'aide et me frotter à la réalité du monde du travail. Les corps des poupées sont par exemple précousus dans un atelier de confection qui réalise aussi les petits vêtements. Devant la demande, j'ai même tenté de leur faire fabriquer des poupées. Vous serez surprise d'apprendre que si j'avais choisi cette solution, les poupées seraient encore beaucoup plus chères qu'après ce que vous appelez la "flambée des prix".

En effet chacune d'elle représente plus de 5 heures de travail à la main : sculpture de la tête, bourrage, montage, broderie du visage et couture de cheveux. Les ateliers de confection chiffrent leur travail à la minute et selon le temps passé le prix de la façon varie au centime près. Seules les marques de haute couture peuvent encore faire travailler ces ateliers français à la main car elles peuvent répercuter ce coût sur leurs prix.

Je vous parle bien sûr d'atelier français car je n'envisage pas de délocaliser. Il faut savoir que ces ateliers sont en grande difficultés devant la concurrence de la Chine ou de l'Inde où la minute de travail n'a pas la même valeur. Il faut vous dire que cette minute de travail si peu chère n'inclut pas les charges si importantes en France. Je ne les critique pas car je sais ce qu'elles représentent : couverture sociale, hôpitaux, écoles...tous ces biens partagés dont ne bénéficient pas les petites ouvrières en Chine par exemple.

Ces charges je les paie aussi et dois les inclure dans mes prix comme je m'efforce aujourd'hui de compter un peu mieux mon temps et mes matières. Ne vous inquiétez pas je n'ai pas fait fortune et je parviens à peine à dégager pour moi un petit smic qui est bien peu au regard de mes heures de travail : je ne parle même pas des heures sur le site internet, à répondre aux emails, prendre des photos, chercher les tissus, commander les matières etc...

Dans mon nouveau prix j'ai donc inclu un peu plus tout cela et le nouveau prix des petits vêtements ( connu à la dernière minute). L'affichage différent qui vient de là est une erreur de ma part.

Pour ce qui est des frais de port et d'emballage : les colissimo expert me coûtent 8,73 euros ttc ( je ne suis pour l'instant pas soumise à la TVA ce qui veut dire que je ne la récupère pas), il y a ensuite le sachet de coton bio imprimé, le papier de soie, la carte, scotch et cartons, ( que je n'ai plus le temps de récupérer et achète donc), l'essence de ma petite voiture... le total dépassant largement ce qui vous incombe.

Je ne me plains pas car je fais un métier magique et qui me passionne mais ne croyez pas que les bénéfices soient ma motivation. Il y a longtemps que j'aurai arrêté si tel était le cas.

J'ai bien sur songé à employer quelqu'un et cela sera peut être un jour possible mais pour l'instant je ne dégage absolument pas assez de bénéfices ( dixit le comptable que j'ai consulté à ce sujet). Et puis je ne vous cache pas que dans mes tentatives, j'ai pu voir qu'il était très difficile de faire réaliser des poupées par d'autres

personnes qui soient tout à fait comme je le souhaite et fidèle aux attentes de ma clientèle donc je préfère continuer à les créer chacune à la main dans mon petit atelier.

Voilà j'espère avoir répondu à vos questions...parfois je suis simplement de mon côté surprise que vous ne soyez pas plus nombreuses à vous interroger par exemple sur les prix pratiqués par les marques de prêt à porter  qui pratiquent des prix élevés avec des marges énormes et pourtant des étiquettes "fabriqué en Chine".

Bon week end.

Penelope"

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J'ai créé un groupe sur flickr pour recueillir les photos de poupées Happy to see you. Si vous en possédez une, vous êtes chaleureusement invités à venir partager vos photos :

Groupe Happy to see you sur flickr

www.flickr.com Plus de contenus du pool Happy to see you

Comme l'inspiration me manque depuis deux jours, je fais dans la facilité.
J'avais pourtant bien dit que je ne vous embêterais pas toutes les semaines à vous faire le compte de mes petits carrés de grand-mère... J'aurais mieux fait de me taire...

Jérémie : "Oh maman y sont belles tes carreaux ! Je les compte !"

Mais vous commencez peut-être à me connaître un peu. Je n'allais pas vous balancer mes petites photos bêtement.

J'ai donc fait une petite animation gif grâce à CE SITE. Tuyau généreusement refourgué par madamezazaofmars, ICI.
Le principe est enfantin. Il suffit de télécharger vos photos et de cliquer sur "create".

Bon, ça fait un peu mal aux yeux au bout d'un moment alors je ne vous en voudrais pas si vous passez en vitesse sur ce post !

Edit du 01/10/09 :
Il semblerait que le site createagif de zaza ne fonctionne plus ! En tous cas, je ne peux plus y accéder; mon navigateur m'affiche une page d'erreur !
J'ai donc trouvé un autre site de création gif, ICI, en espérant que ça dure cette fois-ci...

Une blanket à ma sauce pour le Granny challenge !

Si vous me suivez régulièrement, vous savez déjà que je me suis mise au crochet il y a 2 ou trois semaines.
J'ai commencé par quelque-chose de tout simple : des petits carrés (granny squares) à assembler pour en faire une couverture de mémé.
Mais attention, une couverture de mémé top tendance : la Babette Blanket.

Les explications pour crocheter la BB sont téléchargeables, moyennant finance, sur CE SITE. Elles sont en anglais mais ce n'est pas un problème, une fois que vous avez dégoté un bon lexique anglo-français des termes techniques spécifiques au crochet (un bon coup de Google, on n'a pas encore fait mieux !)

La différence avec la couverture traditionnelle : les carrés n'ont pas tous la même forme et ils sont beaucoup moins ajourés que les granny squares classiques.

Lorsque j'ai découvert l'existence du Granny Challenge sur le blog Guirlande, je me suis dit banco, c'est pour moi ! Idéal pour bien me lancer, pour garder intacte ma motivation pour ma nouvelle passion ! Le but du petit jeu étant de réaliser un carré par jour jusqu'à Noël, soit une centaine en tout, de quoi obtenir un petit plaid in fine.
Et on fait le point tous les mardis sur Guirlande, afin de voir si les petits carrés se multiplient bien !

Je me suis donc lancée tête baissée sur mon petit crochet et mes petites pelotes d'alpaga de la droguerie, à forte dominance de bleu.

Voilà où j'en suis dans mon en cours, à l'instant où je vous parle. Je ne veux pas penser maintenant à la phase d'assemblage...
Notez bien que, normalement, si on veut faire une vraie Babette Blanket, il faut respecter le code des couleurs, mettre telle couleur dans tel carré, et tel carré à telle place. Pas pour moi car je n'ai pas pris la laine qui est recommandée et je n'ai d'ailleurs même pas cherché à trouver des teintes similaires. Je veux la faire à ma façon, à ma sauce !

J'aime le bleu, j'ai du bleu, alors j'y mets du bleu !
Sauf que... je trouve qu'il y en a un peu trop. J'ai peur que ma petite couverture en devienne toute tristoune, non ?

J'ai donc décidé d'égayer l'ensemble avec des touches de rose, orangé, violet et des bleus, mais plus clairs !

Là, je sens que ça va tout changer !

Voilà, voilou où j'en suis avec mes nouvelles aventures au crochet.
Surtout, fidèles visiteurs, ne prennez pas peur, je ne vais pas m'étendre sur le sujet toutes les semaines, vous dénombrer combien de carrés j'ai crochetés en plus chaque mardi.
Ceux et celles qui veulent en savoir plus sur ma progression pourront cliquer dans ma colonne de droite, sur "Mon Granny challenge en cours !".

LE cartable de la rentrée qu'il vous faut !

Je sais que je m'y prends un peu tard, que vous avez déjà acheté un cartable, ou un sac d'école à votre enfant mais tant pis, j'te l'dis quand même, visiteur chéri adoré... J'ai trouvé LE cartable trop beau grâce à la newsletter de Milkmagazine qui nous propose une sélection de cartables.

En passant, vous vous souvenez que je me suis abonnée à LE Milk ? Et ben j'ai reçu le dernier numéro et je regrette toujours mon engagement. Toujours autant rien à lire. J'aurais vraiment dû me renseigner avant, à savoir que c'est juste pour ceux qui aiment regarder de belles photos sur papier glacé... Passons sur le magazine papier et revenons à la sélection de cartables du site internet.

On admire d'abord de loin la série CoQ en PâTe...

Rien ne se perd... (tuto petite culotte pour HTSY à tricoter)

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.
Ça vous rappelle quelque-chose ? Si vous êtes allés au collège et même que vous avez persévéré au lycée, qui plus est en classe scientifique, vous avez dû en manger bonbon !
Bon, vous voyez toujours pas ? C'est l'énoncé de la loi de la conservation de la matière (équilibrer l' équation bilan d'une réaction chimique... que de souvenirs...) de Lavoisier, qui paraît-il l'aurait pompée sur Anaxagore de Clazomènes, un grec du V avant JC. Bouuu, pas bien ! Permettez donc cher monsieur que je m'approprie cet énoncé en l'étayant de ma démonstration artistique.

Pour ce faire, il me faut un body Petit Bâteau ayant appartenu à bébé Sélène, que j'ai pris soin de conserver religieusement avec d'autres de ses congénères. Au cas où j'aurais eu une deuxième fille... Loupé ! Je les ai quand même gardés car je suis bassement matérialiste et j'ai du mal à me séparer de certaines « choses » que j'affectionne. Les bodies Petit Bâteau en font partie.

Alors qu'un orage séviçait dans le ciel de nuit au-dessus de ma demeure et de mon lit, il y a de cela déjà quelques jours, je fus frappée, pas par un éclair, rassurez-vous, mais par une idée lumineuse. Un de celles qui m'oblige à me relever parce que, non mon Jardinier, ça ne peut pas attendre.
Ni une ni deux, de toutes manières je ne dormais pas avec l'orage, je suis allée farfouiller au fond de ma penderie, dans LE sac où je conserve les reliques vestimentaires des enfants.
Et j'en ai ressorti les fameux bodies tous doux.

Trico' 13 : le Knitting Power est en moi ! (tuto petite robe d'été pour HTSY à tricoter)

Je me suis fait une règle éditoriale pour mon blog (Ah bon... parce qu'il y a une ligne éditoriale ici ? Oulala, les grands mots... !), celle de ne pas participer à tous les jeux et challenges divers qui circulent sur la blogosphère. Certainement pas par snobisme, loin de là, mais par volonté de laisser le plus de place à la narration des petits bouts agréables de ma vie quotidienne de grande fille, femme et maman.
Or, il se trouve que les règles doivent être confirmées par des exceptions.
Trico'13 en est une.
Non pas que je sois une tricoteuse hors paire mais tout simplement parce que "le tricot, c'est ma passion !"
Clin d'oeil à mon Jardinier à qui je sors cette petite réplique, un peu pour le narguer, c'est vrai, à chaque fois qu'il râle quand il trouve que mes aiguilles prennent trop de place dans ma vie ! Et... toc !

Je disais donc que le tricot, c'est ma passion. Je tricote depuis 2003, plus ou moins assidûment (+ en ce moment). J'avais déjà parlé de mes chaussettes en laine ICI. Sachez que cette phase chaussettes est terminée ! Depuis plusieurs semaines, je suis à fond dans les habits pour ma poupette HTSY. Sûrement un effet Happy Doll !
Ce qui tombe bien avec le thème du Trico'13 de ce mois-ci : tricoter ce que l'on veut, sans acheter de la laine. Autrement dit, pour moi, utiliser les restes de laine qui traînent au fond de mon carton tout au fond de ma penderie. Et avec des reliquats de pelotes, en principe, il n'y a pas de quoi faire un pull t. 38 ! Par contre, pour une poupée taille naissance moins deux mois, c'est jouable... !

Une demoiselle into the wild... (tuto salopette bloomer pour HTSY à tricoter)

Non, ce n'est pas de ma fille au camping que je veux parler, mais de ma poupette HTSY ! Ouhhh, c'teu honte !
Ben oui, j'aime avoir les "choses" qui me sont chères tout près de moi alors quand je pars plusieurs jours, j'emmène ! J'aime bien avoir mes trésors en permanence avec moi. C'est mon côté material girl.

Poupette, into the wild of camping le Daxia...

Jolis sautoirs... à croquer !

Lors de ma sortie entre filles de samedi dernier à Lyon, j'ai fait une très belle découverte bijoutesque !
Alors que je remontais la rue Victor-Hugo, direction place Bellecour, flanquée de ma petite accolyte, mes yeux ont été attirés par des touches colorées dans la vitrine d'une bijouterie.
Tiens, tiens ? Ma curiosité s'est aiguisée. Elle était jusqu'alors en mode veille puisque le but de ma petite virée, avec mon little girly boulet, n'était pas le shopping.
Je me suis tout de même approchée de cette devanture, d'autant plus que les bijouteries, qui pour moi sont toutes pareilles, ne sont pas du tout des étapes obligées !
Grand bien m'en a pris.
Je suis tombée en extase devant ça :

Sautoir boules opaques multicolores

On en a une énOOOOrme envie !

Je vous avais dit la dernière fois, ICI, que j'étais partie à la recherche du Groquick !
Vous ne l'avez pas oublié lui non plus, j'en suis certaine. Nous avons dû être des millions à partager notre petit-déjeuner avec lui, dans les années 80. Fameuses années de mon enfance !
Groquick, c'est le gros tout jaune et tout gentil, avec un petit chapeau entre ses deux antennes (oreilles ?) et son énorme gros ventre rempli de chocolat en poudre. Toujours prêt à aider les petits n'enfants à retrouver leur nesquick, dérobé par les méchants.

Le Milk... et les découvertes qui en découlent

J'ai finalement pu découvrir le Milk.
A force d'en entendre parler à droite et à gauche de ce magazine, ma curiosité a été aiguisée. Je me suis donc rendue sur le site web de ce trimestriel, ici.
Milk, le magazine de la mode enfantine. Plein de bons plans habits et déco pour que nos enfants soient branchés. Tiens, pourquoi pas ? Ça change des habituels magazines enfants que l'on trouve en kiosque. Oui, je sais, le Milk est aussi vendu en kiosque mais par chez moi, il faut vraiment bien le chercher ! Je crois qu'il n'y a que deux marchands de journaux qui le proposent, et pas juste à côté de chez moi.
Alors je me suis dit, banco, je m'abonne pour un an ! Ça revient en plus un peu moins cher parce que 6€ le numéro, c'est pas cadeau quand même ! Encore plus cher que Marie-Claire Idées ! Je sais, je compare mais ça n'a rien à voir.
Donc le Milk en question, je l'ai reçu samedi. Le nouveau numéro, avec les papas à l'honneur en couv'.

L'arrivée d'une poupette Happy to see you

Heureuse de l'avoir enfin reçue, ma poupée Happy to see you, fabriquée par Pénélope, infatiguable travailleuse !
Les poupées Happy to see you sont la première belle découverte que j'ai faite sur le net, par l'intermédiaire du blog de Fred, LA photographe officielle de ces p'tites beautés.
Mercredi dernier, à midi, la factrice a sonné à ma porte pour m'amener un gros carton, mais très léger !
Evidemment, je savais ce que c'était car j'avais été avertie 2 jours avant de l'expédition de ma poupée. Par contre, les p'tits radis et le Jardinier ouvraient de gros yeux tout ronds de curiosité. Je m'étais bien gardée d'annoncer haut et fort que j'avais commandé une fort jolie poupée, entièrement faite à la main, aux Sables d'Olonne, en Vendée, et avec que des matériaux nobles (peau en jersey de coton biologique, cheveux en mohair, etc) et... forcément, le prix qui va avec !
Pour vous donner un ordre d'idée, c'est grosso modo le prix de ma tente dôme, comme me l'a bien fait remarquer Monsieur.

S'en est suivie très rapidement l'ouverture du gros carton et la découverte de la jolie poupée cachée dans son sac en coton biologique.

Philémon le mouton

La sardine vous propose des doudous en kit, à fabriquer soi-même, vendus dans une jolie boîte cartonnée.

J'ai testé Philémon le mouton ! Le creux des oreilles est en tissu rayé, style vieux matelas. J'adore ! C'est presque comme si c'était moi qui l'avait fait ! En fait, y'a ka suivre le patron, rien de bien sorcier !

Des sacs, en veux-tu en voilà !

Hier, j'étais de sortie à Lyon. Arrivée en gare de Perrache, je me suis hâtée pour aller prendre le métro dans l'underground et j'ai récupéré au passage le quotidien gratuit LyonPlus, gentillement distribué par une étudiante (c'est un job d'étudiant, non ?). Pratiques ces petits journaux : ils sont lus en 10 minutes maxi, le temps d'un trajet dans les transports en commun. On a l'air très fins tous le nez dans la même feuille de chou !

Passées les premières pages, j'arrive à la numéro 8, celle qui est "tendance". Un article de Sandrine Mangenot et une photo de Sophie Blais accrochent mon attention : une jolie frimousse rousse entourée, presque ensevelie même sous des sacs de toutes les matières et de toutes les couleurs.

La maison, le bonhomme, l'arbre et la fleur

Vous vous souvenez des débuts artistiques de ma fille ? Mais si, les bonhommes patates ! Et ben je suis fière de vous annoncer qu'elle est passée à l'étape largement au-dessus !

Voyez donc ça :

C'est ça l'amour !

C'est l'aaa-mou-our, c'est l'aaa-mour, mour, mour, mour !

Comment les Barbapapa m'ont conduite à Antti Lovag...

La grande famille momolle

Ils ont toujours autant de succès ces personnages colorés, transformables à volonté ! La preuve en est les petites figurines à leur effigie que l'on peut trouver chez tous les bons marchands de jouets et, bien sûr, les dvd de leurs aventures qui figurent toujours en bonne place sur les rayonnages des magasins.

Vous allez cependant me dire que les Barbapapa, ce n'est pas nouveau, que vous connaissez déjà tout et que vous vous rappelez du nom de chaque personnage (mon oeil !). Mais savez-vous comment ils sont nés ? Bonne question ! Tiens, finalement ça vaut peut-être le coup de lire mon topo jusqu'au bout !

Aga quoi ?

Vous voulez voir ce qui me fait vraiment rêver ?
Ceux qui ne savent pas quoi m'offrir pour mon anniversaire, ou plutôt pour Noël (c'est avant !)...

Perdus dans la traduction

ou Lost in translation ou l'un de mes cinq ou six films préférés ces dernières années, tout comme Head on, dont je vous ai déjà parlé.
Lost in translation, c'est la rencontre de deux âmes qui se croisent à Tokyo, se reconnaissent et qui n'ont alors pas besoin de traduction pour se comprendre. "Friendship doesn't need translation" peut-on lire dans le trailer, même si ce qui va s'installer entre les deux va bien au-delà de l'amitié. D'un côté, Bob-Bill Murray, acteur plus que sur le retour, loser, has been, qui semble complètement paumé et blasé de la vie et, de l'autre, Charlotte-Scarlett Johansson, jeune mariée à un photographe, qui ne fait pas grand-chose de sa vie à part suivre son mari et qui s'ennuie terriblement dans cette vie oisive. Elle tricote même une écharpe pour passer le temps !

Perdus dans leurs pensées...

Une japonaise qui en vaut deux !

Durant mon enfance et mon adolescence, je dévorais littéralement tout (presque) ce qui me passait entre les mains ! J'ai eu une période bande dessinée, essentiellement centrée sur Yoko Tsuno, héroïne d'origine japonaise, ingénieur en électronique, donc très calée pour tout ce qui touche aux sciences (une tronche cette fille!). Et bien sûr, elle ne serait pas une héroïne digne de ce nom sans cela, c'est une sportive plus qu'accomplie, ceinture noire d'aïkido !

J'avais inventé un slogan débile pour la qualifier, copié sur je ne sais plus trop quelle publicité :"Yoooooooko Tsuno ! Une Japonaise qui en vaut deux !"

Les quatre premiers volumes de la série

Une journée avec mes sacs

Différents sacs rythment mes journées, selon mes sorties. J'ai bien envie de vous les présenter. Quant à ceux qui dorment au fond de mon placard, je vous les épargne car ils sont tombés en disgrâce !

Quand je sors faire les grosses courses à Leclerc, je dois être la plus légère possible. Ben oui, je suis déjà empêtrée dans les grands sacs cabas emplis des victuailles sensées faire vivre ma petite famille pendant une semaine ! Je prends donc : mon petit sac rouge Kipling. Dedans, je ne peux mettre que le minimum vital, c'est-à-dire mes papiers, la carte bancaire, les cartes vitales, des petites photos, un micro-agenda, un petit stylo bille bleu turquoise parfumé (il est petit, c'est ce qui compte !) et, si je rajoute le porte-monnaie, il est blindé !

Un petit paradis vert... dans la ville

Ca se passe à Anvers, quelque part entre la cathédrale Notre-Dame et l'église Saint-Paul, tout près du port de plaisance.

J'ai découvert cet endroit féérique dans le journal de la maison, il y a quelques années et j'ai conservé religieusement les pages concernées. En voici un "bout", reproduit avec les moyens du bord.

Réalisation Jean-François Jaussaud - Luxproduction / Texte Robert Colonna d'Istria

Head on

Aujourd'hui, je m'improvise critique de cinéma ! Je vais faire ça bref car ce n'est vraiment pas mon rayon. Je tenais cependant à vous dire deux mots sur l'un de mes fims préférés. L'un de ceux que l'on peut voir et revoir sans se lasser.

Head on est un film allemand de Fatih Akin, réalisateur d'origine turque. Réalisé en 2004, il a été récompensé par l'Ours d'or au festival de Berlin. Excusez du peu. Pourtant, ce film est passé quasi inaperçu en France et n'a certainement pas été apprécié à sa juste valeur.

Les petits bonhommes de Sélène

Faut bien commencer un jour !

Mon coup de coeur du moment, le voici : les poupées Happy to see you, trop trop mignonnes. Chaque création est unique et féérique. La bonne excuse pour en commander une : c'est pour ma fille ! Mais oui, bien sûr !

N'hésitez pas à aller visiter le site et le blog de la créatrice !http://blog.happytoseeyou.net/